On se chamaille un peu pour la
prendre entièrement dans la bouche, puis on s’accorde : chacune son
tour, non chacune un côté, non, non, une qui engouffre la verge
lentement jusqu’à la gorge, et l’autre qui cajole les testicules avec
les lèvres, la langue, la main, et puis on inverse.
Il
regarde, il sent, deux regards, deux bouches sur lui, qui virevoltent,
le caressent, l’aspirent. Ses mains veulent effleurer les chevelures,
les seins, les fesses mais il est rivé sur le canapé par le pieu que se
disputent les deux gourgandines.
Le
jeu se poursuit, il décide de reprendre un peu la main et de présenter
son sexe durci à l’une puis à l’autre. Il prend une bouche, puis
l’autre, sans être mécanique ou brutal: quand l’une l’a bien goûté, et
qu’il a bien senti les parois souples, chaudes et humides qui enserrent
son pénis, il visite l’autre bouche en lui donnant le temps de
savourer son butin.
Encore, encore cette queue qui s’offre aux deux bouches avides.
L’excitation
est à son comble : jouir… mais où ? Deux langues dardées vers son sexe
continuent, impudiques, à titiller le gland gonflé comme un fruit mûr
et tout d’un coup reçoivent un jet de semence tandis qu’elles
continuent leur ouvrage…
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