Aujourd’hui il fait gris. Et aujourd’hui je suis de retour pour butiner…
Rencontre toute en douceur. Avec une surprise finale. Comme quoi le soleil on peut le trouver quand on veut.
Allongé sur mon lit, on pourrait le croire discret, distant, hésitant.
Je l’embrasse un peu, un peu plus bas et finit par m’emparer de sa verge que je décalotte et suce sur toute sa longueur.
Que
c’est bon… Je suis d’un grand appétit et pourrait me déchaîner tout
d’un coup mais je sens des mains très douces m’effleurer, le dos, les
hanches, les épaules, les seins. Comme un voile de satin, a spider’s
touch.
Je
me détends et laisse aller ma sensualité à ce rythme et à cette façon
qui ne me sont pas si familières. Sa main caresse ma vulve. De petits
effleurements , des pluies de doigts, une pression de la paume. La main
voyage entre mes cuisses, douce, aventureuse, titillant le bouton, la
hampe et puisant dans la corolle des lèvres une humidité suffisante pour
adoucir encore son parcours.
De
son autre main, il m’a saisi les deux seins et joue avec leur masse
gentiment. De plus en plus excitée par la main caressante et la queue
acquise dans ma bouche, j’apprécie que mon camarade joue avec mes
pointes de seins à présent. Petits roulements entre les doigts, petits
tirages, le tout très subtilement.
Puis
fébrilité. La scène s’accélère, le mouvement de ma bouche sur sa verge
aussi, et elle rend avec délice son suc. Ravie de l’occasion qui m’est
donnée de le goûter, je m’inquiète un peu de cette clôture, quand je
voudrais encore cette main doucement inquisitrice sur mon sexe et là,
surprise, en quelques secondes seulement de caresses en prime, la bouche
à peine remplie de foutre, je jouis à mon tour…
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