Il regarde mes seins libres
sous le tissu de ma petite robe noire à imprimé. C’est fou comme la
chair appelle la chair. La main qui ose se glisser dans le décolleté
pour faire sortir l’objet de la convoitise : ce globe ou plutôt cette
poire laiteuse, à la peau toute fine et satinée qu’on a envie de toucher
avec la main, avec les lèvres, avec la queue.
La
queue qui se dresse, elle aussi, elle veut cette douceur, la chair
tendre et souple qui s’abandonne : le mariage du YIN et du YANG, hampe
de chair durcie et sphère de chair tendre…
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