Je n’aime pas trop les vêtements. Ni sur moi, ni sur les autres.
Défaire une chemise, un pantalon, une robe, ça m’ennuie plutôt.
Pareillement, j’aime vite me retrouver pieds nus, seins nus près d’un corps chaud et découvert.
J’aime embrasser les lèvres, le visage, le cou, les épaules et très vite mesurer l’effet que je produis sur une verge.
Oui,
ça j’aime beaucoup. Est-elle déjà raide après quelques regards et
quelques caresses sur les parties les plus rebondies de mon anatomie,
ou attend elle sagement alanguie que je vienne la rendre plus
téméraire ?
J’aimerais dire que je prends le temps de l’embrasser, de la caresser avant de l’engloutir mais ce n’est pas vrai.
En un clin d’œil, je la porte à ma bouche et là j’achève de la découvrir de l’intérieur.
Parfois,
je consens à lui laisser revoir le jour, histoire de la dévorer des
yeux, de la passer sur ma joue, de me régaler de la rondeur des
testicules qui attendent eux aussi d'avoir leur content d’attentions.
Mais bien vite, je la recapture, bien dure pour une douce torture.
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